Avec Joey, une grande page du sport motocycliste se tourne, bien que des pilotes comme
John Mc Guiness (lui aussi sur Honda !) marchent dignement sur ses pas...
Désormais on peut parler du légendaire Joey Dunlop, et comme on dit au Tourist Trophy,
"The show must go on !".
John Mc Guiness (lui aussi sur Honda !) marchent dignement sur ses pas...
Désormais on peut parler du légendaire Joey Dunlop, et comme on dit au Tourist Trophy,
"The show must go on !".
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En hommage à ce grand personnage de
l'île de Man, une statue représentant Joey
sur une Honda VTR SP1 (la dernière moto
avec laquelle il à gagné au Tourist Trophy
en Formula 1 en 2000), a été érigée à
l'entrée du musée, à Bungalow.
Celui-ci est ceinturé par un muret bordé
de pierres où sur chacunes d'elle est
retracée ses 26 victoires au TT.
l'île de Man, une statue représentant Joey
sur une Honda VTR SP1 (la dernière moto
avec laquelle il à gagné au Tourist Trophy
en Formula 1 en 2000), a été érigée à
l'entrée du musée, à Bungalow.
Celui-ci est ceinturé par un muret bordé
de pierres où sur chacunes d'elle est
retracée ses 26 victoires au TT.
Son histoire commence lorsqu'il s'achète à 16 ans sa
première moto, une 250 BSA, et fera ses début en
course dès 1969 sur une Triumph 200 Tiger Cub.
Joey viendra courir au Tourist Trophy la première fois
en 1976. Sa première victoire il l'obtiendra sur la
course du Jubilee Classic en 1977. Ce n'est
véritablement qu'à partir de 1983 qu'il va littéralement
truster la première place du Formula One (TTF1) et ce
pendant 6 ans d'affilée sur les fabuleuses RVF750,
puis sur nos RC30. La légende veut qu'il ait débarqué sur l'Île de Man avec sa moto
sur une barque de pêcheur... A ce sujet (Merci à J-R Scherlin grand fan de Dunlop
pour cette information), Joey venait sur l'Île de Man chaque année en bateau de
pêche, et lors de sa venu sur l'île en 1985, le bateau de pêche " Tornammona "
sombra (heureusement personne ne fut blessé) avec à son bord 8 motos, dont celle
de Joey. Les motos furent sorties de la mer, et subirent un g rand nettoyage, mais
cela n'empêchera pas Joey de finir par 3 fois sur la première marche du podium en
TTF1, Senior et Junior. Il se permettra d'ailleurs de rééditer sa performance en 88.
Il est également spécialiste des courses sur petites cylindrées (ultralightweight), il
remporte sa 14ème victoire au Tourist Trophy en 1992 avec un record du tour à
première moto, une 250 BSA, et fera ses début en
course dès 1969 sur une Triumph 200 Tiger Cub.
Joey viendra courir au Tourist Trophy la première fois
en 1976. Sa première victoire il l'obtiendra sur la
course du Jubilee Classic en 1977. Ce n'est
véritablement qu'à partir de 1983 qu'il va littéralement
truster la première place du Formula One (TTF1) et ce
pendant 6 ans d'affilée sur les fabuleuses RVF750,
puis sur nos RC30. La légende veut qu'il ait débarqué sur l'Île de Man avec sa moto
sur une barque de pêcheur... A ce sujet (Merci à J-R Scherlin grand fan de Dunlop
pour cette information), Joey venait sur l'Île de Man chaque année en bateau de
pêche, et lors de sa venu sur l'île en 1985, le bateau de pêche " Tornammona "
sombra (heureusement personne ne fut blessé) avec à son bord 8 motos, dont celle
de Joey. Les motos furent sorties de la mer, et subirent un g rand nettoyage, mais
cela n'empêchera pas Joey de finir par 3 fois sur la première marche du podium en
TTF1, Senior et Junior. Il se permettra d'ailleurs de rééditer sa performance en 88.
Il est également spécialiste des courses sur petites cylindrées (ultralightweight), il
remporte sa 14ème victoire au Tourist Trophy en 1992 avec un record du tour à
dans les pubs. Joey bricolait lui-même ses motos et les connaissait de l'intérieur du bout des doigts.
Quinze jours avant le Tourist Trophy, il ne décollait plus du garage, fignolant ses motos, son éternelle
cigarette au bec, marquée de ses doigts pleins de cambouis
Il possédait un immense talent de pilote encore plus perceptible lorsque les conditions étaient difficiles
(intempéries et revêtements aléatoires), ses trajectoires étaient absolument parfaites. Durant 20 ans,
Joey est resté fidèle à Honda en tant que "pilote d'usine", mais il n'était pas facile à encadrer...
Il ne supportait pas le baratin et était peu soucieux de son image (Il était faché avec son rasoir et son
coiffeur depuis longtemps !!!). Dans la vie de "Yer Maun" Joey comme le surnoment ses fans, la moto
passe avant tout. L'apparence et la belle élocution il s'en fout !!!
Il n'a jamais accepté d'être pilote de Grand Prix en raison de la médiatisation extrême qui entoure les
GP et n'a jamais voulu faire de promotion pour gagner un peu plus d'argent. Ce n'était pas son truc...
Joey était un type plein de compassion, il avait initié des actions humanitaires pour les orphelins en
Albanie, Bosnie et en Roumanie et participait aux missions durant l'inter saison. Il fut décoré du MBE
(Membre de l'Empire Britannique, l'équivalent de notre légion d'honneur), pour ses actions et son
palmarès motocycliste.
173,90km/h.
En 1998 il ne gagne que la course des 250 (lightweight), mais avec un certain panache sur une moto difficile à manier. En effet, seulement 13ème aux essais, il remporte
brillamment la course sous des trombes d'eau, reléguant son poursuivant Bob Jackson à plus de 42 secondes.
En 1999 il termine 2ème du Formula One sur une Honda RC45, mais c'est une déception pour le vieux lion et pour Honda. Le HRC lui avait confié à cette occasion une
machine d'une valeur de 762245 euros (5 millions de francs). C'est d'autant plus rageant que Joey a été chronométré à plus de 196km/h, son temps le plus rapide depuis
24 ans.
A 48 ans en 2000, il remporte enfin haut la main, le TTF1 avec une Honda SP1 en menant les 2 tiers de la course. Il n'avait pas gagné dans cette catégorie depuis 1998 !
Plus tard il récidive en ramenant le trophée des 125 et 250.
Le 2 juillet 2000, sur le circuit routier de Tallinn, en Estonie (Pays Baltes), lors de la course des 125, Joey Dunlop nous a quitté après avoir perdu le contrôle de sa 125
Honda sur le mouillé.
Quinze jours avant le Tourist Trophy, il ne décollait plus du garage, fignolant ses motos, son éternelle
cigarette au bec, marquée de ses doigts pleins de cambouis
Il possédait un immense talent de pilote encore plus perceptible lorsque les conditions étaient difficiles
(intempéries et revêtements aléatoires), ses trajectoires étaient absolument parfaites. Durant 20 ans,
Joey est resté fidèle à Honda en tant que "pilote d'usine", mais il n'était pas facile à encadrer...
Il ne supportait pas le baratin et était peu soucieux de son image (Il était faché avec son rasoir et son
coiffeur depuis longtemps !!!). Dans la vie de "Yer Maun" Joey comme le surnoment ses fans, la moto
passe avant tout. L'apparence et la belle élocution il s'en fout !!!
Il n'a jamais accepté d'être pilote de Grand Prix en raison de la médiatisation extrême qui entoure les
GP et n'a jamais voulu faire de promotion pour gagner un peu plus d'argent. Ce n'était pas son truc...
Joey était un type plein de compassion, il avait initié des actions humanitaires pour les orphelins en
Albanie, Bosnie et en Roumanie et participait aux missions durant l'inter saison. Il fut décoré du MBE
(Membre de l'Empire Britannique, l'équivalent de notre légion d'honneur), pour ses actions et son
palmarès motocycliste.
173,90km/h.
En 1998 il ne gagne que la course des 250 (lightweight), mais avec un certain panache sur une moto difficile à manier. En effet, seulement 13ème aux essais, il remporte
brillamment la course sous des trombes d'eau, reléguant son poursuivant Bob Jackson à plus de 42 secondes.
En 1999 il termine 2ème du Formula One sur une Honda RC45, mais c'est une déception pour le vieux lion et pour Honda. Le HRC lui avait confié à cette occasion une
machine d'une valeur de 762245 euros (5 millions de francs). C'est d'autant plus rageant que Joey a été chronométré à plus de 196km/h, son temps le plus rapide depuis
24 ans.
A 48 ans en 2000, il remporte enfin haut la main, le TTF1 avec une Honda SP1 en menant les 2 tiers de la course. Il n'avait pas gagné dans cette catégorie depuis 1998 !
Plus tard il récidive en ramenant le trophée des 125 et 250.
Le 2 juillet 2000, sur le circuit routier de Tallinn, en Estonie (Pays Baltes), lors de la course des 125, Joey Dunlop nous a quitté après avoir perdu le contrôle de sa 125
Honda sur le mouillé.
Palmarès :
1977 Jubilee Classic, 1980 Classic,1983 Formula 1,1984 Formula 1, 1985 Formula 1,
250cc et Senior, 1986 Formula, 1987 Formula 1 et Senior, 1988 Formula 1, 250cc et Senior,
1992 125cc (égalise le record de 14 victoires de Mike Hailwoods), 1993 125cc (bat le
record du tour avec 173,9km/h à l'époque !!!), 1994 125cc et 250cc, 1995 250cc et Senior,
1996 125cc and 250cc, 1997 250cc, 1998 250cc, 2000 Formula 1, 125cc et 250cc
Mais son palmarès ne s'arrête pas là, puisqu'il a également gagné :
24 Ulster Grand Prix, 13 North West 200, 22 Killinchy 150, 2 Dundrod 150, 32 Southern 100,
6 Killalane, 10 Steam Packet Races, 15 Skerries 100, 10 Cookstown 100, 18 Tandragee
100, 5 Temple 100, 6 Fore, 15 Mid Antrim, 2 Dundalk, 2 Kells, 1 Munster.
1977 Jubilee Classic, 1980 Classic,1983 Formula 1,1984 Formula 1, 1985 Formula 1,
250cc et Senior, 1986 Formula, 1987 Formula 1 et Senior, 1988 Formula 1, 250cc et Senior,
1992 125cc (égalise le record de 14 victoires de Mike Hailwoods), 1993 125cc (bat le
record du tour avec 173,9km/h à l'époque !!!), 1994 125cc et 250cc, 1995 250cc et Senior,
1996 125cc and 250cc, 1997 250cc, 1998 250cc, 2000 Formula 1, 125cc et 250cc
Mais son palmarès ne s'arrête pas là, puisqu'il a également gagné :
24 Ulster Grand Prix, 13 North West 200, 22 Killinchy 150, 2 Dundrod 150, 32 Southern 100,
6 Killalane, 10 Steam Packet Races, 15 Skerries 100, 10 Cookstown 100, 18 Tandragee
100, 5 Temple 100, 6 Fore, 15 Mid Antrim, 2 Dundalk, 2 Kells, 1 Munster.
William Joseph Dunlop de son vrai
nom, est né le 25 février 1952 à
Ballymoney dans le Comté d'Antrim
en Irlande du nord.
Il eu 5 enfants (Julie, Donna, Garry, Richard, Joanne) avec sa
femme Linda.
Les superlatifs ne manquent pas pour qualifier ce personnage
"THE KING OF THE MONTAIN" - "THE KING OF THE ROAD" - "THE
MASTER OF BILLOWN" - "THE GREATEST ROAD RACER EVER"
et c'est bien sur l'île de Man, que l'on voue un véritable culte à
cet homme mythique.
nom, est né le 25 février 1952 à
Ballymoney dans le Comté d'Antrim
en Irlande du nord.
Il eu 5 enfants (Julie, Donna, Garry, Richard, Joanne) avec sa
femme Linda.
Les superlatifs ne manquent pas pour qualifier ce personnage
"THE KING OF THE MONTAIN" - "THE KING OF THE ROAD" - "THE
MASTER OF BILLOWN" - "THE GREATEST ROAD RACER EVER"
et c'est bien sur l'île de Man, que l'on voue un véritable culte à
cet homme mythique.
Son surnom « King of the road » n'est plus à démontrer.
L'homme au casque jaune et noir et au numéro 3, est le seul à avoir remporté 26 victoires
pendant ses 25 ans de présence au Tourist Trophy.
Joey Dunlop, était une sorte de dieu, un type simple, timide, mais qui sut tisser des liens
privilégiés avec ses fans. Il se disait d'abord motard "Je suis comme tous les motards qui
viennent dans l'île pour voir les courses. J'aime le Tourist Trophy comme j'aime la moto et la
course sur route. Je ne peux m'empêcher d'y revenir à chaque fois. Et pourtant, je ne peux
pas dire que la moto soit un truc génétique. Mon frère Robert et moi sommes les seuls
coureurs de la famille". Simplement comme eux, il aimait la bonne bière et cherchait toujours
une sèche après la course. Son plat favori était le steack frites et son passe temps préféré
était le jeu de fléchettes
L'homme au casque jaune et noir et au numéro 3, est le seul à avoir remporté 26 victoires
pendant ses 25 ans de présence au Tourist Trophy.
Joey Dunlop, était une sorte de dieu, un type simple, timide, mais qui sut tisser des liens
privilégiés avec ses fans. Il se disait d'abord motard "Je suis comme tous les motards qui
viennent dans l'île pour voir les courses. J'aime le Tourist Trophy comme j'aime la moto et la
course sur route. Je ne peux m'empêcher d'y revenir à chaque fois. Et pourtant, je ne peux
pas dire que la moto soit un truc génétique. Mon frère Robert et moi sommes les seuls
coureurs de la famille". Simplement comme eux, il aimait la bonne bière et cherchait toujours
une sèche après la course. Son plat favori était le steack frites et son passe temps préféré
était le jeu de fléchettes
"The King of the road"
Joey Dunlop
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